Soutien à Aya Nakamura cible de critiques racistes

Aya Nakamura, dont le talent a franchi les frontières, se retrouve aujourd’hui cible de critiques racistes, simplement parce qu’elle incarne une France plurielle, diverse, dynamique. Mais ce combat dépasse largement sa personne; il touche à l’essence même de ce que signifie être artiste dans notre monde✨

L’art est le souffle de liberté qui anime nos sociétés, la flamme qui éclaire les ténèbres de l’ignorance et du sectarisme. Chaque note, chaque pinceau, chaque mot est une pulsation de ce cœur battant pour la diversité, pour l’expression de toutes les identités. En ce sens, Aya Nakamura n’est pas juste une artiste choisie pour représenter la France; elle est le symbole vivant d’un pays où la richesse culturelle est la source de sa grandeur, pas la cause de sa division !

On peut comprendre que certains évoquent le fait qu’ils n’aiment pas sa musique, après tout l’art n’est il pas une affaire de goûts et de couleurs. On pourrait toutefois ironiser sur ce proverbe puisque pour d’autres la couleur dont on parle est une couleur de peau ! On entend parler de statistiques etc… Est ce vraiment le sujet ? 🤔 Les manifestations du racisme a l’égard de la chanteuse sont si visibles pourtant.

Les critiques racistes qui s’abattent sur elle 😡ne sont que le reflet d’une vision étriquée, d’une pensée unique qui cherche à étouffer le dialogue des cultures qui caractérise notre époque. Ces voix ne cherchent pas à protéger l’identité française; elles cherchent à l’appauvrir, à la réduire à une monoculture, à un dogme stérile qui n’a jamais existé !

Affirmer qu’elle ne devrait pas représenter la France aux Jeux Olympiques de Paris, c’est nier ce que la France a de plus beau à offrir au monde : son ouverture, son inclusivité, sa capacité à embrasser toutes les couleurs, tous les sons, toutes les origines.

Nous défendons la liberté contre ceux qui voudraient la voir enchaînée. Peut être les mêmes nostalgiques d’une époque révolue…L’art ne connaît pas de frontières, pas de couleur, pas de langue unique. Il est l’expression de l’humanité dans toute sa diversité, dans toute sa beauté.

Dans ce contexte, les critiques racistes qui visent Aya Nakamura soulignent un paradoxe douloureux et profondément ironique. Comment peut-on prôner l’exclusion dans un événement qui, par essence, célèbre l’inclusion ? 🤔Comment la haine peut-elle trouver sa place dans les Jeux Olympiques, symboles de fraternité mondiale ?🫣 C’est un affront non seulement à l’artiste elle-même, mais à l’esprit même des jeux, à cette flamme olympique qui brûle pour éclairer nos meilleures qualités humaines.

Choisir Aya Nakamura pour représenter la France lors d’un tel événement mondial est un geste qui va bien au-delà de la simple performance artistique. C’est une déclaration de ce que la France veut être aux yeux du monde : un pays ouvert, fier de sa diversité, un lieu où chaque culture, chaque histoire, est valorisée et célébrée. C’est montrer que la France comprend et incarne véritablement les idéaux olympiques de respect, d’excellence, d’amitié et d’égalité. Loin des clichés des vieux réacs de la fachosphère!

La banderole récemment affichée par un groupe d’individus : « Y’a pas moyen Aya, ici c’est Paris, pas le marché de Bamako ». En dit long sur le climat ambiant.